Description de l'œuvre
À propos de l'artiste
« Je suis juste un type curieux. »Fasciné par le principe de production des formes et l’expérience des matériaux, Haberland conquiert un médium après l’autre réclamant structures et usages. Chasseur de formes, lorsque qu’un volume lui plait, un pacte se scelle : ceci pourrait être une sculpture.
Dans ce tour de passe-passe de l’objet à l’œuvre, il s’opère parfois un glissement de sens qui définit pleinement la stratégie de l’artiste : faire entrer son art dans la vie.
« Il y a un monde derrière les formes. »
Gabriel Haberland utilise son statut d’artiste pour visiter le réel et nous emmène avec lui.
Pêcheur de formes subversif, explorateur de l’envers, artisan du réel, Gabriel Haberland réorganise le chaos qui nous entoure avec poésie et humour.
Gabriel Haberland (né en 1991) a été diplômé de l’École des Beaux-Arts de Paris en 2014.
Il vit et travaille entre Paris et Marseille.
Haberland a été Lauréat du prix de sculpture « Méthode Keskar » organisé par la fondation de France en 2015.
Il a été deux fois sélectionné pour participer à la résidence Grand Largue (2015-2016), un bateau de recherche artistique.
Haberland a pris part à de nombreuses expositions collectives parmi lesquelles : OFF ART_O_RAMA, une exposition organisée par Le Collective dans les Blockhaus de L’escallete à Marseille en
2019, Try on Sculpture au studio Plijadur à Douarnenez la même année ; Global Primeur chez Taki exotique, une exposition produite avec le soutien de l’école des arts décoratifs de Strasbourg en 2018.
En 2017 l’artiste montre son travail au centre d’art La passerelle de Brest pour l’exposition Surfer à un arbre, il expose également à la galerie R-2 à Paris à l’occasion d’Agora ainsi qu’à l’École des Beaux Arts de Rennes avec l’exposition Boat. Haberland expose également au Doc à Paris pour le projet Robe a robe, à la galerie Homession de Barcelone avec son entreprise artistique Global Primeur pour l’exposition Roue libre #2 et à la galerie Primo Piano pour l’exposition Demain dès
l’aube en 2016.
Son travail fait partie de la collection Frédéric de Goldsmith.
Texte : Mathilde Le Coz
gabrielhaberland.com